Le sourire de Brahim
Brahim, enfant, a perdu son sourire : à peine arrivé de sa Kabylie natale, ensanglantée par la guerre, il a vu tomber au quartier Latin l'un de ses frères, lors de la manifestation du 17 octobre 1961. En grandissant, il prend conscience, avec ses copains de la cité-béton, des dures réalités de l'émigration.